À Johann Georg Volckamer, le 12 juillet 1663
Note [2]
V. notes [1] et [3], lettre latine 237, pour les « Lettres » de Georg Richter (Nuremberg, 1662) éditées par son fils Johann Georg, et pour la mort de Claude Sarrau, conseiller au Parlement (avec nouveau lapsus de Guy Patin sur l’année de sa mort, qui survint en 1651).
Patin ne critiquait pas les prescriptions de ses confrères en prétextant leur appartenance à la Religion réformée (à laquelle Sarrau était resté fidèle toute sa vie), sauf s’ils s’étaient convertis au catholicisme (tels Théophraste Renaudot, François Guénault, Élie Béda des Fougerais ou Lazare Meyssonier) : c’est ici la seule attaque antistibiale qu’on lise dans sa Correspondance contre des « médicastres calvinistes » [medicastri calvinisti, sans aucune doute sur l’exactitude de ma transcription] ; sans doute s’agit-il d’un autre lapsus, calvinisti pour aulici [auliques, c’est-à-dire de la cour, courtisans].