À Heinrich Meibomius, les 31 juillet et 31 août 1664
Note [5]
L’italique est en français dans le manuscrit.
Louis Héron apparaît dans quelques autres lettres de Guy Patin à Heinrich Meibomius. Peut-être était-il apparenté au commerçant parisien Jacques Héron dont Patin a mentionné la banqueroute à la fin de sa lettre à André Falconet du 1er mars 1664.
Un Firmin Bobière et un Jean Le Preux, marchands de Paris, figurent dans le Registre numérisé des familles parisiennes pour cette période. V. note [15], lettre 662, pour la rue Troussevache, proche du domicile parisien de Patin.
Afin qu’on satisfît convenablement son insatiable et dispendieuse bibliomanie, Patin poussait jusqu’à l’obsession les recommandations de précautions à prendre pour protéger, contre les dégâts des eaux et autres avaries, les imprimés qu’on allait lui expédier de Hambourg par bateau.