À Bernhard Verzascha, le 25 août 1665
Note [2]
Après ses sept précédentes décades parues depuis 1618 (v. note [14], lettre 1020), l’imprimeur bâlois Johann Jakob Genath méditait apparemment de publier le « nouveau recueil de thèses médicales » que Guy Patin attendait avec impatience ; mais la crainte des contrefaçons françaises semblait modérer l’ardeur de Genath.