À Georg Friedrich Lorenz, le 18 février 1666
Note [10]
« et forgent d’un coin trop connu des vers grossiers » (Juvénal, v. note [7], lettre 926).
Guy Patin méprisait les Consilia medicinalia [Consultations médicales] de Cesare Mocca (Turin, 1620, v. note [4], lettre 596).