Autres écrits : Thomas Diafoirus (1673) et sa thèse (1670)
Note [6]
Fiction héritée de l’Antiquité (Aristote et Galien) qui assimilait le mouvement du sang veineux à celui des marées dans un fleuve côtier, tel le Méandre, en Carie ; comme Jean ii Riolan l’a décrit dans ses Opera anatomica vetera… (1649 ; v. note [18], lettre 192). Ce premier article de la thèse nie, en 1673, à la fois la circulation du sang (publiée en 1628) et les voies du chyle (décrites en 1651).