Note [17]
La mention finale des deux condamnateurs du Christ (v. note [24], lettre 183) et de la synagogue imprègne la phrase du mépris que Guy Patin affichait pour les juifs : il soupçonnait que beaucoup des praticiens, originaires de Montpellier et d’ailleurs, composant l’entourage médical parisien de Théophraste Renaudot, appartenaient à ce peuple qu’il exécrait.