Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé 2007) : 3
Note [4]
Le refus, bien plutôt que l’ignorance, de la circulation sanguine (v. Thomas Diafoirus et sa thèse) menait à ce raisonnement aberrant qui compartimentait le sang en secteurs distincts (tronc, membres, tête…), qu’il fallait évacuer sélectivement, et aux discussions sans fin sur la veine qu’il convenait de saigner, selon la nature et le mécanisme de la maladie à soigner (v. note [29], lettre latine 87).