Autres écrits : Consultations et mémorandums (ms BIU Santé 2007) : 18
Note [5]
Comme prouve sa Leçon sur le laudanum et l’opium, Guy Patin s’est plus tard montré fort réticent à l’emploi des médicaments opiacés tels que le diacode (v. note [9], lettre 571). Il se montrait néanmoins déjà ennemi des remèdes arabes et cordiaux (cardiaques) en barrant ici le mot zulapia, juleps (v. note [7], lettre 135), pour le remplacer par potiunculæ, petites gorgées.