Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II
Note [22]
Précédemment publié dans la 17e édition du Médecin charitable (Paris, 1632, v. note [17], lettre 15), ce traité figure aussi dans la 18e (Œuvres du Médecin charitable, Paris, Jean Jost, 1633, in‑8o). Intitulé Les Tromperies du bézoard découvertes par Philibert Guybert, écuyer, docteur régent en la Faculté de médecine de Paris. Cinquième édition ; dédié « À Messire Charles Bouvard [v. note [15], lettre 17], conseiller du roi en ses Conseils d’État et privé, et premier médecin de Sa Majesté », c’est le cinquième et dernier traité du premier tome de l’ouvrage (pages 349‑432). Cette Histoire de la pierre de bézoard est composée de deux parties :
« Et qui plus est, il vaut mieux, et est plus assuré d’user de médicaments connus de nous et une infinité de fois expérimentés pour secourir les malades, que de ces simples inconnus et étrangers, recherchés curieusement et à nous apportés des extrémités de la terre, pour la guérison d’une maladie tant subite et tant dangereuse comme est la peste ; de laquelle le bon Dieu, qui a créé la médecine, nous veuille tous par sa sainte grâce préserver. Adieu, ami lecteur, et prends, s’il te plaît, ce mien petit labeur en gré, priant Dieu pour moi. »