V. notes [5], lettre 61, pour désopiler, qui est le contraire d’opiler (obstruer), et [2] du mémorandum 7 pour les pâtés que préparaient et vendaient les pâtissiers au xviie s.
Furetière a défini tous ces noms de gâteaux (sucrés ou salés) qu’ils confectionnaient aussi :
- macaron, « pâtisserie faite de sucre, de farine et d’amandes, taillée en petit pain plat et de figure ovale » ;
- poupelin, « pièce de four, pâtisserie délicate faite avec du beurre, du lait et des œufs frais, pétrie avec de la fleur de farine ; on y mêle du sucre et de l’écorce de citron ; le poupelin se sert d’ordinaire avec la tourte » ;
- rissole, « sorte de pâtisserie faite de viande hachée et épicée, enveloppée dans de la pâte déliée ; on l’appelle aussi oreille de Parisien parce qu’elle est faite en forme d’une oreille » ;
- dariole, « pièce de pâtisserie faite de crème enfermée dans un petit rond de pâte ».