Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-3
Note [55]
Cet article emprunte son latin à L’Héautontimorumenos de Térence (acte ii, scène 2) :
« et puis tu connais les manières des femmes, tantôt elles intriguent, tantôt elles se pomponnent, et voilà une année de passée ».
L’interrogation finale met la frivolité féminine sur le compte des hommes et de leur société, soit une pensée assez étrangère à la misogynie ordinaire de Guy Patin (v. notule {d}, note [1], lettre 600).