Annexe : Autobiographie de Charles Patin
(Lyceum Patavinum, 1682)
Note [23]
J’ai mis en exergue ces préceptes particuliers (privata præcepta) que Charles Patin attribuait à son père car ils portent le même titre que les Préceptes particuliers d’un médecin à son fils et leur ressemblent, bien qu’ils soient plus médicaux qu’eux, et moins philosophiques ou religieux. Ils ajoutent un élément aux questions que posent le « manuscrit de Guy Patin pour l’instruction de ses deux fils » (manuscript written for the instruction of his two sons), dont a parlé le médecin écossais Robert Sibald, et aux doutes que j’ai exprimés sur l’authenticité des Préceptes particuliers conservés dans le manuscrit de Vienne et transcrits dans Pintard a : v. leurs notes [1] et [72].