Note [1] |
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« En cette maladie, dit-on, a été caché quelque chose de vénérien » ; François Guénaud était parti à Gand soigner le prince de Condé, qui souffrait de troubles urinaires (v. infra note [14]). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 5 février 1658, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0514&cln=1 (Consulté le 05/10/2024) |