À Charles Spon, le 26 avril 1658, note 11.
Note [11]

« Chiens muets, incapables d’aboyer », Isaïe (56:10) :

Speculatores eius cæci omnes nescierunt universi canes muti non valentes latrare videntes vana dormientes et amantes somnia.

[Nos gardiens sont tous aveugles, ils ne comprennent rien. Ce sont tous des chiens muets, incapables d’aboyer. Ils rêvent, restent couchés, ils aiment dormir].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 26 avril 1658, note 11.

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(Consulté le 29/03/2024)

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