Note [12] |
|
Je n’ai rien trouvé pour éclairer les allusions médisantes de Guy Patin à propos de Michel Ferrand (v. note [14], lettre 287). Il a corrigé la fausse nouvelle de sa mort dans sa lettre suivante à André Falconet. Quand on n’en fait pas un jeu de mots, la ferrandine est une « étoffe légère dont toute la chaîne est de soie, mais qui est tramée de laine, qui diffère en cela du pou-de-soie [grosse étoffe toute de soie, tout unie et sans lustre], dont la chaîne et la trame sont tout de soie » (Furetière). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 28 avril 1665, note 12.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0820&cln=12 (Consulté le 13/01/2025) |