À Charles Spon, le 27 octobre 1654, note 14.
Note [14]

V. note [21], lettre 312, pour LAntimoine justifié… d’Eusèbe Renaudot. Il a pu y avoir une relation effective entre la fricassée de volaille qu’il avait mangée à la table de François Guénault (v. lettre à Charles Spon, datée du 16 août 1654) et l’abcès qu’il avait développé trois mois plus tard dans la tempe : en vomissant, un petit bout d’os de poulet se serait fiché dans la gorge pour être le départ d’une lente infection (phlegmon) du cou, puis de la face et de la tempe.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 27 octobre 1654, note 14.

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(Consulté le 26/04/2024)

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