Note [14] |
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Les cendres que vendait ce faux-monnayeur s’appelaient cendres de gravelée (v. notule {a}, note [3], lettre 258) dont on se servait pour faire la lessive. Le feu de réverbère (v. note [39] de L’ultime procès de Théophraste Renaudot…) qu’on utilisait pour accomplir cette opération permettait aussi de fondre les métaux. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er août 1656, note 14.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0442&cln=14 (Consulté le 04/12/2024) |