Note [2] |
|
« qu’un médecin se permette de prescrire parfois à ses malades certains médicaments choisis contre le gré et la volonté des pharmaciens » : v. note [4], lettre latine 127, pour ce propos de Thomas Reinesius dans sa Chimiatria (Gera, 1624). |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Georg Volckamer, le 25 février 1661, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1190&cln=2 (Consulté le 12/12/2024) |