À André Falconet, le 31 janvier 1659, note 20.
Note [20]

C’est une des rares fois où Guy Patin a donné une idée exacte des honoraires médicaux qu’il percevait (v. note [23], lettre 206). À la manière des médecins de l’époque, il n’était souvent pas payé à la consultation, mais forfaitairement à l’année, pour les soins qu’il prodiguait à une famille. Cent écus, soit 300 livres, d’annuité faisaient une coquette somme, si l’on prend sept euros d’aujourd’hui pour équivalent d’une livre tournois (Bluche) ; mais Jacques Forcoal était un richissime partisan.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 31 janvier 1659, note 20.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0554&cln=20

(Consulté le 28/03/2024)

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