Note [22] |
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V. note [7], lettre 257, pour la libération des princes de Condé et de Conti, contemporaine du premier exil de Mazarin. Guy Patin ne mentionnait pas ici le duc de Longueville, leur beau-frère, qui les avait accompagnés dans leur captivité. La soumission de l’Université à ce séisme politique ne prouve pas nécessairement qu’elle adhérait au parti frondeur : elle était du moins tenue, comme l’ensemble des institutions du royaume, de suivre, bon gré mal gré, les caprices de son courant dominant. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 1D. Novembre 1650-novembre 1651, Affaires de l’Université, note 22.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8185&cln=22 (Consulté le 06/12/2024) |