À Charles Spon, le 6 septembre 1652, note 27.
Note [27]

Autant dire, après une telle déclaration, amplifiée dans les Commentaires de la Faculté (v. note [45] leurs Décrets et assemblées de 1651-1652), que la cause était entendue d’avance, au moins dans l’esprit du doyen Patin.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 6 septembre 1652, note 27.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0293&cln=27

(Consulté le 19/03/2024)

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