À Charles Spon, le 21 août 1657, note 3.
Note [3]

Guy Patin tentait alors une conciliation dans le procès de Bonaventure Basset (v. note et [27], lettre 477) contre le Collège des médecins de Lyon qui ne voulait pas l’admettre en son sein. Lyon ressortissait aux compétences juridictionnelles de Paris : son Parlement, pour les procédures d’appel et de cassation, et en matière d’expertise médicale, son École de médecine.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 21 août 1657, note 3.

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(Consulté le 26/04/2024)

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