Note [36] |
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« et le voici à ce point soulagé qu’on juge que quelque dieu lui a prodigué sa médecine, et il aura bientôt cessé d’être essoufflé. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 4 février 1650, note 36.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0216&cln=36 (Consulté le 30/09/2023) |