À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 36.
Note [36]

« à de nombreux titres » : comme à chaque fois qu’il évoquait l’affection de Mme d’Aiguillon pour son oncle, Guy Patin laissait planer de médisants sous-entendus sur leurs intimes relations (v. note [14], lettre 205).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 36.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0487&cln=36

(Consulté le 20/04/2024)

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