À André Falconet, le 11 janvier 1661, note 4.
Note [4]

« Un corps sain puise en lui-même sa force, et n’a nul besoin d’un Machaon, mais le malade, inquiet sur son état, a recours aux conseils du médecin » (Ovide, Pontiques, livre iii, lettre iv, à Rufin, vers 7‑8).

Dans l’Iliade, Machaon ou Asclépiadès (fils d’Esculape, v. note [5], lettre 551) et son frère Podalirios (v. note [18] du Traité de la Conservation de santé, chapitre viii) furent les médecins des Grecs pendant le siège de Troie.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 11 janvier 1661, note 4.

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(Consulté le 24/04/2024)

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