À Johann Paul Felwinger, le 4 novembre 1666, note 4.
Note [4]

« Puissent vraiment les dieux nous ménager des jours meilleurs ! » (citation abrégée de Virgile, v. note [5], lettre 33).

L’amertume de Guy Patin à l’encontre du pouvoir royal s’explique sans doute par la saisie de livres clandestins détenus par lui et son fils Charles : elle avait eu lieu le 15 septembre 1666 et fut pour eux deux le premier acte d’un drame fatidique (v. le début des Déboires de Carolus).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Paul Felwinger, le 4 novembre 1666, note 4.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1444&cln=4

(Consulté le 27/04/2024)

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