À Charles Spon, le 2 août 1652, note 46.
Note [46]

Forme la plus grave de la maladie, les gouttes arrêtées étaient la même chose que la goutte supprimée (v. note [30], lettre 99).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 2 août 1652, note 46.

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(Consulté le 12/12/2024)

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