Note [5] | |
« ceci après cela, donc à cause de cela » : fameuse formule de la scolastique (v. note [3], lettre 433) pour désigner l’erreur qui consiste à prendre pour cause avérée ce qui n’est peut-être qu’un antécédent dans le temps. Guy Patin n’a pas dit mot sur la nouvelle guérison d’une variole princière survenue à la cour (qui avait pu rallumer la curiosité d’André Falconet sur les remèdes cordiaux dans cette maladie). Gazette, ordinaire no 137, du 5 septembre 1648 (page 1208) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 10 octobre 1648, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0161&cln=5 (Consulté le 14/12/2024) |