Note [5] |
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« que vous avez en moi un débiteur qui n’est pas oublieux de tous les présents qu’il a reçus. Quant aux affaires politiques, je n’en dirai rien d’autre que : “ qui vous savez ” [Mazarin] règne et triomphe ». Guy Patin recourait au grec pour protéger sa lettre contre les indiscrétions toujours possibles de la censure royale. V. note [25], lettre 345, pour le commentaire de Monantheuil « sur le Serment d’Hippocrate », resté inédit. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 10 avril 1654, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0346&cln=5 (Consulté le 19/09/2024) |