Note [5] |
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Le mot adapturum du manuscrit n’ayant pas de sens en latin, je l’ai tenu pour une inattention du scribe de Guy Patin, qui aurait dû écrire adaperturum (radical du supin du verbe adaperire, découvrir). V. note [74], lettre 332, pour le « Jardin royal de Blois » d’Abel Brunier (Paris, 1653 et 1655) et pour son maître Gaston d’Orléans (mort en 1660). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Christiaen Utenbogard, le 28 décembre 1663, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1306&cln=5 (Consulté le 06/06/2023) |