Note [5] |
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La lettre se termine sans que Guy Patin, tout à sa joie et à sa fierté d’avoir habilement obtenu le privilège du Schenckius (v. supra note [1]), ait écrit à Johann Daniel Horst un mot au sujet de son fils Georg, qui séjournait alors à Paris pour se perfectionner en chirurgie (v. note [3], lettre latine 98). Au début de sa lettre suivante à Horst (9 mars 1665), Patin a néanmoins dit avoir remis la présente à Georg. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Daniel Horst, le 4 mars 1665, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1376&cln=5 (Consulté le 26/04/2024) |