Note [54] | |
Le doctorat de Jean Héroard situe cette partie du récit en 1572 ou 1573 (v. supra note [48]). Dans l’énumération de hautes personnalités montpelliéraines (dont je ne garantis pas la traduction des offices) qui l’ont gratifié de leur soutien, je n’ai certainement reconnu que son oncle paternel, Guillaume Héroard (v. supra note [47], notule {a}).
L’omission la plus remarquable est bien sûr celle du chirurgien royal Jacques Guillemeau (v. supra note [11]), à qui la première Vie de Jean Héroard a conféré un rôle de tout premier plan dans son ascension parisienne. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Les deux Vies latines de Jean Héroard, premier médecin de Louis xiii, note 54. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8225&cln=54 (Consulté le 11/10/2024) |