À Claude II Belin, le 3 janvier 1638, note 6.
Note [6]

Marie de Médicis séjournait toujours alors à Bruxelles.

Henri Fouqueray (chapitre xv, Derniers jours des trois puissants protecteurs [1641-1643], pages 435‑436) :

« Dépouillée de tous ses biens en France et ne recevant pas régulièrement la pension annuelle que lui avait promise son gendre, le roi d’Espagne, {a} elle n’avait pas même de quoi répondre par un léger secours aux infortunes qui lui tendaient la main. […]
S’imaginant que l’insuccès de ses démarches auprès de son fils {b} en vue d’un accommodement était dû à son séjour dans les États du roi d’Espagne alors en guerre avec la France, elle résolut, au mois d’août 1638, de quitter les Pays-Bas espagnols et se rendit à l’improviste en Hollande avec l’intention de passer en Angleterre, s’il le fallait. »


  1. Philippe iv.

  2. Louis xiii.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 3 janvier 1638, note 6.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0037&cln=6

(Consulté le 27/04/2024)

Licence Creative Commons