À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665, note 65.
Note [65]

Page 301 (Paris, 1646), livre ii, chapitre xcvii, De Galanga utraque [Les deux Galangas], ligne 11 (§ 8), ajouter usus est [est utilisé] dans :

Magnus quidem eius [usus est] ad iuvandam coctionem, tam primam in ventriculo, quam secundam in visceribus.

[Le grand (est utilisé) pour favoriser la digestion : autant la première, qui se fait dans l’estomac, que la seconde, dans les viscères].

Galanga (Trévoux) :

« Plante des Indes Orientales. Il y a le petit et le grand galanga. Le petit galanga croît à la Chine […]. Le grand galanga croît dans l’île de Java et en Malabar […] et n’a pas autant de vertu que celle du petit galanga. […] Le galanga est un remède céphalique, cardiaque et stomachique. Il fortifie l’estomac et aide à la digestion. Il est bon dans les maux de tête, dans la colique, pour dissiper les vents et pour corriger la puanteur de l’haleine. »

La réédition de Francfort (1667, page 240) a appliqué cette correction.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665, note 65.

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(Consulté le 23/04/2024)

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