Note [68] |
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Les assiégés affamés de La Rochelle (1627-1628, v. note [27], lettre 183) sont réputés y avoir recouru. De manière moins sensationnelle, Furetière appelle boudin le « boyau de porc empli de son sang et de sa graisse, dont on fait un mets bon à manger : celui-là s’appelle boudin noir ». |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II, note 68.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8169&cln=68 (Consulté le 08/12/2024) |