Note [8] | |
C’est à nouveau Guy Patin (et non plus Hugo Grotius) qui s’exprime : « Mais dites, s’il vous plaît, si quelque censeur morose de mes lettres survenait, et demandait dans quel but et pour le bien de qui je confie tant de choses au sujet du P. Petau ? Je lui répondrais aussitôt et sans pouvoir faire autrement : il m’est si doux et agréable de deviser avec un ami, et parce que si j’étais à court d’idées pour écrire, je recourrais aux sornettes jésuitiques de ce genre, dont je remplirais ma page. » Joseph-Henri Reveillé-Parise a glosé sur ce passage :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 octobre 1649, note 8.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0201&cln=8 (Consulté le 03/12/2024) |