Note [9] |
|
« une maladie des viscères, d’où la substance propre est menacée de putréfaction par une ancienne et forte intempérie qui a engendré une mauvaise diathèse, {a} qu’aucun secours de notre art ne peut réduire. “ Toutes choses trépassent, nous passerons, vous passerez, ils passeront. Inconnus, célébrités, sont tous égaux de condition. ” {b} C’est que notre empourpré se porte mal ». |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 3 août 1660, note 9.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0626&cln=9 (Consulté le 13/12/2024) |