Note [16] | |
V. notes [4], lettre 63, pour le médecin érudit Fortunio Liceti, et [28] du Naudæana 2, pour le philosophe Jacopo Zabarella. Pendasius eut aussi pour éminent élève Cesare Cremonini (v. infra note [37]). Additions et corrections du P. de Vitry « Fredericus Pendasius était de Mantoue. Je n’ai vu que deux ouvrages de lui. Le premier est un petit traité intitulé De corporum cœlestium Natura, et imprimé à Mantoue en 1555, in‑8o. L’autre est beaucoup plus considérable < et > a pour titre Physicæ auditionis texturæ, libri octo, publié à Venise en 1603, in‑fo. {a} Il semble, par les préfaces et les avertissements qui sont à la tête de ce dernier, qu’il en vit l’édition achevée et qu’il la corrigea même. Cependant, si nous en croyons celui qui a fait le catalogue des savants de Bologne, il était mort dès 1601 : Federico Pendasi da Mantua 1571, fù fatto Cittadino Bolognese. Lesse filosofia all’ordinario della sera, poi alla terza hora, sin al 1601, che morì d’età di…, {b} l’auteur n’a point achevé d’y mettre son âge, il devait être alors fort avancé. Nous avons déjà dit ci-dessus {c} qu’il professa à Padoue depuis 1564, jusqu’en 1571, qu’il fut appelé à Bologne, où il passa le reste de ses jours. Il eut un fils, Cesare Pendasi, qui professa aussi la philosophie dans cette dernière Université. » {d} |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Naudæana 4, note 16. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8195&cln=16 (Consulté le 04/05/2024) |