Avis au bienveillant lecteur, note 1.
Note [1]

Par « tous les médecins », j’entends du moins ceux qui, comme moi, ont soutenu leur thèse de médecine avant 1980. Le réservoir du chyle est aussi connu sous le nom de « sac de van Horne », en injuste souvenir de la priorité que Jan van Horne a usurpée pour sa découverte (en 1652, v. note [49], lettre de Sebastianus Alethophilus à Jean Pecquet). Jacques Mentel semble avoir été le premier à mettre au jour le réservoir chez le chien en 1629 (v. note [30] de sa lettre à Pecquet), et l’a montré à Jean Pecquet en 1647 (v. note [14], première partie du Clypeus).

Pecquet a sans conteste été le premier à décrire le trajet et la fonction des lactifères thoraciques, que Jean ii Riolan a judicieusement proposé d’appeler les « canaux pecquétiens », canales Pecquetiani (v. note [24], préface de sa première Responsio).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Avis au bienveillant lecteur, note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=1520&cln=1

(Consulté le 13/06/2024)

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