À André Falconet, le 5 novembre 1649
Note [11]
« et cependant je ne suis pas allé jusqu’au point d’impiété qu’Ovide a jadis atteint, pleurant un ami mort : “ Quand je vois le malheur nous arracher les plus vertueux, pardonne-moi cet aveu, je suis tenté de croire que les dieux n’existent pas ” » (Ovide, Amours, livre iii, élégie ix, vers 35‑36).
L’Esprit de Guy Patin a repris ce passage et l’a étendu : v. notes [2] et [3] du Faux Patiniana II‑2.