Guy Patin se complaisait lui-même à médire de Mme d’Aiguillon, nièce de Richelieu, en insinuant qu’ils étaient mère et père de ceux qu’on appelait ses trois neveux (v. note [37], lettre 487).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 3 mars 1665, note 5.