À Charles Spon, le 17 novembre 1662
Note [9]
La mort de François Verny, « apothicaire juré de l’Université de médecine de Montpellier », éditeur de la Pharmacopée de Bauderon (v. note [3], lettre 726), n’était qu’un faux bruit dont Guy Patin est convenu dans sa lettre à Charles Spon du 17 octobre 1667.