À André Falconet, le 6 août 1649
Note [3]
« avec les [Chrestomathies] physiologiques » ; déjà détenteur de ce manuscrit, Guy Patin attendait alors celui des Chrestomathies pathologiques qu’il avait acheté à la fille de Caspar Hofmann, leur défunt auteur (v. note [13], lettre 150).