À Charles Spon, le 17 septembre 1649
Note [6]
Manuscrit des Chrestomathies pathologiques de Caspar Hofmann que Guy Patin avait acheté à sa veuve et dont il attendait impatiemment l’arrivée (v. note [17], lettre 192).
Une défroque était au sens strict la « dépouille d’un moine, d’un chevalier qui a fait des vœux, sa succession », et au sens large, l’héritage mobilier de tout défunt (ici les livres de sa bibliothèque).