À Charles Spon, les 19 et 22 octobre 1649
Note [32]
« Le diamargariton simple est un électuaire solide que l’on compose de perles [margariteis en grec, margaritæ en latin] fines broyées très subtilement [v. note [31], lettre 183] sur le porphyre. Il y entre aussi du sucre blanc dissous dans de l’eau rose [v. note [29], lettre 242] ou de buglose [v. note [2] de l’observation ix], et cuit en consistance de sucre rosat. Il remédie aux fièvres ardentes et surtout aux maladies qui sont accompagnées de flux de ventre » (Thomas Corneille).