À Charles Spon, le 1er mars 1650
Note [47]
V. note [4], lettre 216, pour l’accommodement entre les frondeurs et la cour avant l’arrestation des princes (mais dans ses Mémoires, le coadjuteur, n’a pas dit avoir inclus dans le marché la restitution des sceaux à Châteauneuf).
Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome i, pages 229‑230, 1er mars 1650) :
« Grand soupçon parmi les bons courtisans que hier, dernier février, les visites que le cardinal fit au duc de Beaufort et coadjuteur furent sur le sujet qu’eux, par l’entremise de la duchesse de Chevreuse, insistent à ce que les sceaux soient rendus à M. de Châteauneuf et que cela fut arrêté entre eux de la sorte. »