À Charles Spon, le 12 août 1650
Note [6]
Poursuite du différend (mentionné pour la première fois en 1648, v. note [17], lettre 150) entre libraires parisiens et lyonnais sur le privilège des Opera de Daniel Sennert (v. note [6], lettre 234). La Chambre de l’édit jugeait des affaires touchant les protestants, tels qu’étaient les Lyonnais Huguetan et Ravaud. Guy Patin allait en donner l’issue plus bas dans sa lettre.