À Charles Spon, le 15 septembre 1654
Note [13]
Guy Patin a ici écrit Voiture avec une majuscule initiale ; mais plutôt que d’une lettre de Vincent ii Voiture (mort en 1648, v. note [9], lettre 210), il voulait parler d’une « lettre de voiture », contrat qui lie l’expéditeur au transporteur et au destinataire d’un colis. Cela ne nous éclaire pourtant toujours pas sur la nature exacte du trafic de livres qui valait à l’imprimeur lyonnais Guillaume Barbier d’être en chicane défavorable avec les libraires de Paris (v. note [7], lettre 366).