À Charles Spon, le 15 décembre 1654
Note [15]
« qui ne manqueront pas d’âcreté des mots et des faits : ainsi faire plusieurs livres et disperser les comices est un travail sans fin [L’Ecclésiaste, v. note [13], lettre 283]. »
La réplique de Siméon Courtaud au Cani miuro… de Charles Guillemeau (v. note [14], lettre 358) circulait déjà à Paris sous le titre de Lenonis Guillemei… (Paris, 1654, v. note [2], lettre 380).