« et il n’y avait pas de quoi le remettre sous la presse. »
V. notes [36], lettre 395, pour la Pharmacopée de Schroderus (Johann Schröder), et [41], lettre 396, pour l’Hippocrate de Foesius (Anuce Foës).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 9 avril 1655, note 9.